La digitalisation du monde des entreprises est aujourd’hui établie comme une nécessité vitale pour chaque activité. Les dirigeants savent à présent le caractère incontournable de cette dimension alliant technologie, flux de données, process et suivi. C’est d’ailleurs un paramètre crucial dans la poursuite des objectifs majeurs de chaque acteur économique : la performance et la croissance. Afin de les atteindre, voire les dépasser et a minima de s’en approcher au plus près, il convient donc de mettre en œuvre une stratégie adaptée. Cela va impliquer de savoir opter pour les bons outils et c’est ce sur quoi nous allons revenir ici.
Outils métiers : comment bien les choisir ?
Les compétences et la connaissance font la valeur ajoutée de chaque entreprise. C’est un fait avéré. Et si celle-ci se situe dans la richesse de leur ressource humaine, il est important de prendre la mesure du rôle joué par les outils qui sont mis ou doivent être mis à sa disposition.
Ces outils, dorénavant technologiques et informatiques, et quoi qu’il arrive, connectés, vont permettre d’accompagner l’activité et les collaborateurs. Cet accompagnement se traduit généralement par
- une optimisation du temps nécessaire au traitement de chaque tâche ;
- une automatisation des tâches à faible valeur ajoutée ;
- une amélioration des process ;
- un accès simplifié à l’information ;
- un meilleur suivi des données et indicateurs clés de l’activité.
Pour identifier les outils les plus adaptés, il convient d’opérer une veille et de tester des outils existants et présentant des fonctionnalités et un cadre qui sera proche de sa propre activité. Une manière plus efficace de procéder va consister à la mobilisation d’un professionnel expert dans la conception et le développement d’outils sur-mesure répondant pleinement et précisément au besoin métier d’une entreprise. Pour cela, on peut, par exemple, découvrir le site de Pepperbay.
Qu’est-ce qu’un bon outil métier, parfaitement adapté ?
Un bon outil métier est le fruit d’un travail d’écoute, de compréhension et de proposition. En effet, il ne peut y avoir d’outil fait spécifiquement pour répondre au besoin d’une entreprise sans qu’une première phase d’assimilation du contexte et prise en compte des enjeux n’ait eu lieu. Ainsi, c’est uniquement sur cette base que peuvent être émise les propositions de structure, de taxonomie, de typologie de contenus qui vont intégrer l’outil. Sans cela, le projet de digitalisation va s’écarter de ses objectifs initiaux et ne va pas répondre aux particularités du business model ou des process propres à l’entreprise qui le lance.
Penser qu’un outil « prêt à l’emploi », existant, sera la bonne solution, est tentant, mais c’est un véritable risque à moyen et long terme. En effet, c’est seulement après avoir investi dans une licence ou un abonnement pendant plusieurs mois que l’on se rendra compte de l’incapacité dudit outil à apporter les réponses attendues. Car les détails et particularités auront été sous-estimés, ou simplement ignorés, la solution logicielle existante ne couvrira qu’une partie plus ou moins importante du besoin quotidien de la gestion de l’entreprise.
Notons toutefois qu’il est parfois seulement nécessaire de faire développer un module ou une fonctionnalité complémentaire à un outil déjà existant pour apporter l’ensemble des réponses nécessaires.